Commentaires
Sur celui-ci, la composition me plaît bien aussi mais plus particulièrement "l'homme qui court" . Encore une fois, le dessin ne rend rien en photo ( ce problème est inhérent à toutes les photos ou presque présentes sur ce site )
Celui-là est issu d'une heure creuse : tous mes croquis ont été raté et celui-ci était passable donc du coup il s'est distingué ( même si c'est pour les mauvaises raisons )
J'adore faire ce genre d'exercice : défragmenter un mouvement . Cela me rappelle mon amour fou pour l'animation .
Ca doit être une pause courte et pourtant j'adore le mouvement .
Pour une fois je n'ai pas bosser qu'au trait: où du moins j'ai retouché à de nombreuses reprises ( j'ai dû galérer !) néanmoins j'aime bien !
Juste un essai en ne représentant que les ombres .
Note à moi-même : ne plus tester ça sur des poses courtes ^^
Très bon exercice ! Foncer sa feuille et faire apparaître le modèle par la lumière, en gommant sa silhouette .
Début d'une série s'appellant "Agonie au clair de lune" où l'on peut imaginer un homme en train d'accompagner son aimée durant ces dernières minutes de vie . Culcul hein ? ^^
Toujours en relation avec "Agonie ..." mais ici stylisé à fond, en ne gardant que les principales formes et en jouant sur les répétitions et les différences d'échelle .
Agrandissement du couple .
Ici, on poursuit la narration : la femme n'est pas du tout mourante, par contre son goujat s'est endormi alors en attendant elle se fait des machemallow, vexée . Le second est une réprésentation plus classique, une variation du dessin .
A partir du "Portrait de Marguerite Khnopff" ( 1887 ) de Fernand KHNOPFF, Marine m'a proposé un travail de série : malgré l'aspect "série par l'effacement", une fois de plus la série est beaucoup plus narrative qu'il n'y paraît . Délaissée ( sentiment que j'ai par rapport à son expression faciale ), elle disparaît peu à peu jusqu'à atteindre un basculement des logiques où elle se retrouve à l'envers . Elle perd la notion du temps et donc de toute logique où il n'y a plus de haut ou de bas ( si ce n'est les vêtements qu'elle porte qui renvoient à notre apesanteur . En fin de compte, la disparition se poursuit entraînant son environnement avec elle ne laissant que la serrure derrière elle .
Petit exercice de perspective .
Alors ça, c'est juste pour me prouver que je peux dessiner autre chose que des filles et que, si je veux, je peux ne pas dessiner qu'au trait . Mais c'est d'un ennui mortel ( bon j'ai pas choisis le sujet le plus excitant ...)
Même démarche que ci-dessus à la différence que j'aimais bien le sujet ( je trouvais la chaîne et la rouille très esthétiques ) . Mais bon ... autant ne pas se leurrer, je préfères dessiner des filles ^^
Ce dessin est issu d'un workshop des années supérieures .
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